Deux mots qui sabotent ta vie sans que tu t’en rendes compte.
Tu dis vouloir changer. Tu dis vouloir avancer. Mais à chaque fois que tu oses un pas, tu t’enfermes toi-même dans une cellule invisible.
Deux petits mots suffisent à ruiner tes rêves, à bloquer ton énergie, à atteindre ton feu intérieur. Ces deux mots, tu les connais très bien : « Oui, mais… »
Ces mots deux mots sont ton pire virus intérieur. Ils paralysent tes projets, t’attachent à tes excuses et font de toi la prisonnière de tes peurs.
Aujourd’hui, je t’invite à un moment de vérité. Ose regarder en face le rôle que jouent tes « Oui, mais… » dans ta vie.
Le virus invisible qui t’empêche d’avancer
Tu veux lancer un projet ? T’affirmer ? Changer un aspect de ta vie ?
Et quand l’occasion se présente, au lieu de foncer, tu t’excuses :
- « Oui, mais je n’ai pas le temps. »
- « Oui, mais mon conjoint(e) ne me comprend pas. »
- « Oui, mais je n’ai pas d’argent. »
- « Oui, mais ma santé m’empêche. »
- « Oui, mais j’ai pas d’énergie le matin. »
- « Oui, mais j’ai trop de choses à faire. »
- « Oui, mais avec la DPJ dans ma vie… »
- « Oui, mais j’ai des obligations familiales »
- « Oui, mais j’ai pas d’expérience »
- « Oui, mais j’ai une bonne raison. »
- « Oui, mais mon chum n’est jamais là la semaine. »
- « Oui, mais tu ne comprends pas, moi c’est pas pareil. »
- « Oui, mais… »
La liste est infinie.
Chaque fois que tu prononce ces mots, tu creuses ta propre tombe intérieure. Tu choisis de rester figée. Et pire, tu crois que c’est une raison valable. En réalité, ce ne sont pas des raisons. Ce sont des chaînes.
Le prix caché de tes excuses
Tes « Oui, mais… » te donne un soulagement immédiat. Tu te protèges, tu évites le risque, tu obtiens peut-être un peu de sympathie.
Mais à long terme, tu paies le prix fort :
- Tu retardes tes projets.
- Tu détruis ta confiance en toi.
- Tu étouffes ton énergie vitale.
- Tu détruis tes relations à force de répéter des excuses.
- Tu nourris ton doute, tes peurs et tes frustrations.
Regarde ta vie honnêtement : combien de choses n’as-tu pas osé parce que tu t’es réfugiée derrière ces deux mots ?
Chaque « Oui, mais… » est une porte que tu as toi-même fermée. Et plus tu en fermes, plus ton monde rétrécit. Et un jour, tu te réveilles avec la douleur de réaliser que ta vie est passée… sans que tu aies vraiment osé la vivre.
Le courage de dire simplement « Oui »
Sortir de ce cercle n’a rien de magique. C’est brutal. Ça demande du courage. La vérité est simple : tant que tu continues à dire « Oui, mais… ». , tu choisis l’inaction. Le seul antidote, c’est d’oser un « Oui » franc. Même si tu ne sais pas comment. Même si tout n’est pas prêt.
Pose-toi ces questions maintenant, pas demain :
- Qu’est-ce que je gagne vraiment à rester dans mes excuses ?
- Qu’est-ce que je perds à chaque fois que je dis « Oui, mais… » ?
- À quoi ressemblerait ma vie si je disais enfin « Oui » ?
Parce qu’au fond, tu le sais : ce ne sont pas les autres, ni le temps, ni l’argent qui t’empêchent. C’est toi. Et tes deux mots empoisonnés.
La vie ne t’attend pas. Le temps passe. Tu peux continuer à t’inventer des excuses ou tu peux décider que ça suffit.
Alors dis-moi :
« Vas-tu encore laisser deux petits mots décider ta vie ? »







0 Commentaire