Parce que derrière chaque plainte se cache un besoin inassouvi. Mais attention : chialer coûte toujours plus cher qu’agir.

Soyons honnêtes : chialer, ça fait partie de la culture québécoise. On se plaint de la météo, du prix de l’épicerie, du manque de temps… et l’espace d’un instant, on se sent entendues. Mais derrière chaque plainte se cache souvent un besoin plus profond, ignoré ou inassouvi. La vérité ? Chialer attire l’attention, mais une attention négative qui nous coûte très cher à long terme : en énergie, en estime de soi et en opportunités perdues. Dans cet article, je t’invite à découvrir pourquoi la plainte est une illusion et comment passer à l’action pour transformer ta vie.

Qu’est-ce que ça cache vraiment ?

Avouons-le : la plainte est un refuge. Elle nous donne l’impression d’exister sans nous exposer réellement. Mais derrière un simple « Tout coûte trop cher » ou « Je n’ai pas le temps », il y a souvent beaucoup plus. Ce n’est pas toujours une question d’argent. Bien souvent, c’est une façon d’éviter de s’engager et de dire les vrais affaires.

Lorsqu’on se réfugie dans la plainte :

• On évite de confronter nos peurs :
  • Peur d’échouer : « Et si j’investis et que ça ne marche pas ? »
  • Peur de réussir : « Et si ça marche, serais-je capable d’assumer la nouvelle version de moi ? »
• On masque un manque d’estime de soi :
  • « Je ne mérite pas de mettre cet argent ou cette énergie sur moi. »
• On démontre parfois un manque de connaissance de soi :
  • « Je ne sais pas vraiment ce que je veux. »

Bref, chialer est une façade. Une manière d’éviter d’agir, de se responsabiliser, de se mettre en mouvement et d’éviter l’inconfort du changement, en espérant que le monde extérieur s’ajuste à nous. Autrement dit, la plainte devient un mécanisme de défense pour ne pas confronter ses peurs intérieures.

Le prix invisible de la plainte

À court terme, chialer ne coûte rien et on obtiens de l’attention. Mais à long terme,
c’est une facture immense :

• Tes relations s’alourdissent.
• Tes insécurités s’amplifient.
• Ton énergie reste bloquer dans l’inaction.
• Ton évolution personnelle se bloque.

Finalement, chialer coûte toujours plus cher qu’agir. Et parfois, le prix à payer n’est pas seulement intérieur : opportunités perdues, projets reportés, rêves jamais réalisés ! La facture peut être très salée !

Comment passer de la plainte à l’action

La clé, ce n’est pas de tout changer du jour au lendemain. C’est de commencer par un petit pas. Identifier ton vrai besoin, et choisir de le combler autrement que par la plainte. Ça demande de la lucidité, du courage… et parfois un accompagnement extérieur.

C’est exactement le rôle des séances de coaching VIP :

• Identifier les vraies sources de tes frustrations.
• Développer l’estime et la clarté nécessaires pour agir.
• Transformer ton énergie de plainte en puissance d’action.

Fantôme ou créatrice ?

Tu as toujours le choix :

• Continuer à chialer en espérant que ta vie change d’elle-même.
• Ou passer à l’action et reprendre ton pouvoir.

La plainte soulage un instant. L’action transforme une vie entière.

✨ Es-tu prête à faire ce pas ?

Chialer, ça fait sourire un instant, mais ça ne construit rien. L’action, elle, te rapproche de la femme que tu veux devenir.

Et toi, dis-moi en commentaire : quelle est la plainte que tu aimerais transformer en action dès aujourd’hui ?